La relation entre le risque de survenue d’un cancer broncho-pulmonaire et le tabagisme est scientifiquement prouvée. Sur 100 patients qui décèdent de cancer broncho-pulmonaire, on peut considérer que 7 seulement n’ont jamais fumé.
Chez le non fumeur, le risque d’apparition d’un cancer broncho-pulmonaire, quoique faible, est augmenté pour ceux qui vivent avec un fumeur (tabagisme passif).
La coexistence de plusieurs facteurs favorisants chez le même sujet (par exemple amiante + tabac) augmente considérablement le risque. La majorité des patients atteints d’un cancer broncho-pulmonaire a un passé tabagique. A l’inverse, tous les fumeurs ne sont pas victimes d’un cancer bronchique. Il est donc logique de penser qu’il existe une prédisposition génétique à développer une tumeur bronchique.
Mis à jour le 3 avril 2017