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Soit 23.8€
après déduction fiscale ou réduction d’impôts

270 résultats
3 juillet 2025
Donations

Si vous désirez exprimer votre générosité de votre vivant, la donation fait figure de mode de soutien idéal. Par ce geste simple, vous permettez à la Fondation du Souffle de renforcer, sans attendre, ses moyens d’action en matière de prévention, de dépistage, de financement de projets de recherche et d’aide sociale pour les malades les plus défavorisés.

Il existe plusieurs types de donations :

  • La donation simple : vous cédez la pleine propriété de votre bien à la Fondation du Souffle,
  • La donation de nue-propriété : vous gardez l’usufruit du bien (exemple : le droit d’habiter votre logement) ; la Fondation du Souffle ne devient pleinement propriétaire du bien qu’au décès de l’usufruitier,
  • La donation temporaire d’usufruit : vous transmettez provisoirement certains revenus (loyers, intérêts, dividendes, …) tout en profitant d’avantages fiscaux intéressants,
  • La donation sur succession : vous cédez à la Fondation du Souffle des biens dont vous héritez et profitez ainsi d’exonération partielle de droits de succession.

Donner de son vivant, c’est transmettre un souffle d’avenir

En faisant une donation à la Fondation du Souffle, vous posez un geste fort, tourné vers les autres et vers l’avenir. Votre engagement soutient des actions concrètes aujourd’hui, et fait avancer la recherche pour demain. C’est une manière vivante et durable de donner du sens à votre générosité.

 

Les donations classiques ne sont pas soumises à une limite d’âge, dès lors que vous êtes en pleine possession de vos moyens. Comme pour le legs, si vous avez des héritiers réservataires, la donation ne doit pas excéder la quotité disponible sauf si ces derniers renoncent par avance à leur réserve.
Si vous n’avez pas d’héritier réservataire, c’est-à-dire ni conjoint, ni enfant, vous pouvez effectuer librement une donation de tout ou partie de votre patrimoine en faveur du bénéficiaire de votre choix. Si vous avez un ou plusieurs héritiers réservataires, ces derniers bénéficient de ce que l’on appelle la réserve héréditaire, calculée selon le nombre d’héritiers. Vous pouvez disposer librement de la part restante, appelée quotité disponible.

 

3 juillet 2025
Je souhaite une brochure libéralités
3 juillet 2025
Je souhaite être appelé
3 juillet 2025
Assurance-vie

L’assurance-vie, un geste simple pour un impact durable

Parmi les placements préférés des Français, l’assurance-vie est généralement utilisée comme une épargne projet ou de précaution. C’est également une épargne idéale pour préparer sa transmission de patrimoine dans un cadre fiscal avantageux.
Nommer la Fondation du Souffle bénéficiaire d’une assurance-vie, c’est lui donner plus de visibilité sur ses ressources futures et lui permettre d’agir avec encore plus d’efficacité contre les maladies respiratoires.

En désignant la Fondation du Souffle comme bénéficiaire d’un contrat d’assurance-vie, vous soutenez une cause qui vous tient à cœur, tout en préparant l’avenir en toute sérénité. La Fondation vous accompagne avec bienveillance dans cette démarche, respectueuse de vos choix, pour que votre engagement continue à faire grandir l’espoir et la recherche au service de la santé respiratoire.

 

Qu'est ce qu'une assurance-vie ?

L’assurance-vie est un contrat d’épargne qui vous permet de vous constituer un capital à travers des versement ponctuels ou réguliers. Il peut être souscrit auprès d’une banque ou d’une compagnie d’assurance, sans faire appel obligatoirement à un notaire.
C’est au moment du décès du souscripteur que le contrat prend fin. Le contrat garantit alors le versement des
fonds sous forme de capital ou de rente au(x) bénéficiaire(s) désigné(s) dans le contrat.
Sachez qu’il existe différents types de contrats (contrats mono-support ou multi-supports, fonds en euros ou en unités de compte) ainsi que différents modes de gestion pour s’adapter au profil et aux objectifs de placement du souscripteur. Votre banquier, votre assureur ou votre notaire pourront vous informer plus en détail sur ce point.

 

Gros plan sur la clause bénéficiaire 

Pour éviter toute ambiguïté, il convient de désigner le(s) bénéficiaire(s) du contrat avec la plus grande
précision dans la clause bénéficiaire du contrat, clause qui peut être modifiée à tout moment par le
détenteur de l’assurance-vie.
Pour désigner la Fondation du Souffle comme bénéficiaire de votre assurance-vie, vous devez libeller la
clause comme suit : « Fondation du Souffle, dont le siège est situé 68 boulevard Saint-Michel - 75006 Paris. »

3 juillet 2025
Notaires

C’est avec grand plaisir que nous vous accueillons, vous et vos collaborateurs, sur cet espace entièrement conçu pour vous.

Vous y découvrirez notre univers, nos actions, et trouverez des réponses à transmettre à vos clients désireux de soutenir la Fondation du Souffle. 

N’hésitez pas à nous demander des brochures d’information sur les maladies respiratoires : elles seront parfaites pour vos salles d’attente ou à remettre directement à vos clients.

Avant toute chose, nous souhaitons vous rappeler que, reconnue d’utilité publique, la Fondation du Souffle est habilitée à recevoir des legs, donations et assurances-vie, en totale exonération de droits de mutation.

 

À propos de notre Fondation :

La Fondation du Souffle est la seule Fondation Reconnue d’Utilité Publique dédiée à 100 % à la lutte contre les maladies respiratoires.

Créée en 2011, la Fondation du Souffle réunit les principales structures et forces vives de la pneumologie dans son conseil d’administration. 

Entièrement privée, elle agit grâce à la générosité de ses donateurs, particuliers et mécènes. La Fondation est plus que jamais nécessaire quand les maladies respiratoires restent l’une des toutes premières causes de mortalité et quand les conditions climatiques et la précarité menacent le souffle et la vie.

C’est fort de l’union de professionnels de santé, des malades et de leurs familles que nous agissons. Au quotidien, l’activité de la Fondation est relayée par un réseau de partenaires actifs sur tout le territoire. 

 

Nos 3 grandes missions prioritaires :

La Fondation du Souffle répond à 3 missions prioritaires :

  • Financer la recherche
  • Informer et prévenir le grand public sur les maladies respiratoires
  • Soutenir les malades respiratoires les plus précaires et leurs familles

Pour plus de détails, rendez-vous sur la page dédiée.

 

Informations clés sur la Fondation du Souffle

  • Dénomination sociale : Fondation du Souffle
  • Fondation Reconnue d’Utilité Publique
  • Création le 15 novembre 2011 sous l’égide du CNMR : Comité National contre les Maladies Respiratoires association crée en 1916.
  • Le CNMR est membre fondateur de la Fondation du Souffle
  • Déclaration publiée au Journal Officiel du 17 novembre 2011
  • Reconnaissance d’utilité publique par décret du 15 novembre 2011 publié au JO du 17 Novembre 2011
  • Siège Social : Paris (75006) 68 Boulevard Saint Michel 75006 Paris
  • Ancien Siège Social : Paris (75006) 66 Boulevard Saint Michel 75006 Paris
  • Numéro SIREN : 539 168 625
  • Numéro SIRET : 539 168 625 00033
  • Numéro APE : 94 99Z
  • Catégorie juridique : 9300
  • Exonération des droits de mutation par décès en vertu de l’article 795.2 du C.G.I.
  • Président : Professeur Bruno Crestani 

 

Pour vous permettre de constituer un dossier complet, nous mettons à votre disposition un ensemble de documents téléchargeables :

  • Décret de reconnaissance d’Utilité Publique
  • Parution au Journal Officiel certifié
  • Statuts
  • Certificat INSEE

D’autres documents sont à disposition et pourront vous être envoyés pas courrier postal sur simple demande par email ou par téléphone :

  • Un dépliant sur les libéralités en faveur de la Fondation du Souffle pour votre salle d’attente ;
  • Une brochure d’informations sur les legs, donations et assurances-vie pour que vos clients puissent aller plus loin ;
  • Les comptes de la Fondation du Souffle certifiés
  • Des brochures d’informations sur les maladies respiratoires et les agresseurs du Souffle (également téléchargeables sur notre site dans la soufflothèque )

 

Nous mettons également à la disposition de vos clients, les guides des générosités (« la philanthropie un projet de vie » et « Assurance-vie, un don à la portée de tous ») élaboré conjointement par France générosités et le Conseil Supérieur du Notariat.

Nous vous proposons également le guide des libéralités consenties aux associations, fondations et fonds de dotation réalisés avec France Générosités et le Conseil Supérieur du Notariat pour mieux comprendre les démarches liées aux dons, assurances-vie ou legs.

 

Ce site est vivant : n’hésitez pas à nous faire part de vos attentes, de vos besoins ou de vos idées pour l’enrichir. Nous serons ravis d’échanger avec vous !

 

Marie-Caroline Tisserand
Responsable Libéralités 
📞 Ligne directe : 01 46 34 58 40

📧 mc.tisserand@lesouffle.org

 

Commande de dépliants pour votre étude

16 juillet 2025
Le Respir'Athlon revient en septembre !
4 septembre 2025
Lettre du Souffle n°119 - Les nouveaux toxiques respiratoires
26 septembre 2025
Mieux comprendre la légionellose

Récemment, des dizaines de cas de légionellose ont été signalés en Haute-Saône et en Savoie, plusieurs personnes sont décédées et d'autres ont été hospitalisées en réanimation (date du 25/09/25). Cette actualité récente montre l’importance de rester vigilant et informé pour protéger chacun, en particulier les plus fragiles.

 

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La légionellose, souvent appelée « maladie du légionnaire », a été identifiée pour la première fois en 1976, après une épidémie survenue lors d’un rassemblement de vétérans de la Légion américaine à Philadelphie. C’est de cet événement que la maladie tire son nom.

Depuis, la légionellose est reconnue comme une infection respiratoire sérieuse. Les connaissances sur sa prévention et son traitement se sont considérablement améliorées, mais la vigilance reste indispensable.

 

 

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La légionellose, est une infection pulmonaire grave causée par des bactéries du genre Legionella. Ces bactéries sont naturellement présentes dans les milieux aquatiques (lacs, rivières, sols humides) et dans les réseaux d’eau artificiels (réseaux d’eau chaude, systèmes de climatisation, bassins à remous…), où elles peuvent se multiplier.

La contamination se produit par inhalation de microgouttelettes d’eau contaminée. La légionellose ne se transmet pas d’une personne à une autre et ne se contracte pas en buvant de l’eau contaminée dans des conditions normales.

 

 

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Le diagnostic repose sur l’imagerie pulmonaire qui oriente le diagnostic et des tests microbiologiques pour confirmer le diagnostic 
Le traitement repose sur des antibiotiques adaptés. Une prise en charge rapide est cruciale pour limiter la gravité.

 

Cet article a été rédigé grâce au concours du Pr Claire Andrejack, Pneumologue au CHU d'Amiens et Présidente de la SPLF 

 

 

26 septembre 2025
Légionellose
  • Premiers signes : fièvre, frissons, fatigue, maux de tête, douleurs musculaires, perte d’appétit. Possible signes digestifs.
  • Symptômes respiratoires : toux, essoufflement, douleurs thoraciques, parfois hémoptysies (crachat de sang provenant des poumons ou bronches).
  • Incubation : 2 à 10 jours après l’exposition (parfois jusqu’à 14 jours).

Comme pour chaque virus, tout le monde peut être touché mais les personnes, dites à fragiles, sont les plus à risques de développer une forme grave. Les facteurs de risques : âge avancé, tabagisme, maladies chroniques, immunodépression...

 

 

La légionellose, souvent appelée « maladie du légionnaire », a été identifiée pour la première fois en 1976, après une épidémie survenue lors d’un rassemblement de vétérans de la Légion américaine à Philadelphie. C’est de cet événement que la maladie tire son nom.

Depuis, la légionellose est reconnue comme une infection respiratoire sérieuse. Les connaissances sur sa prévention et son traitement se sont considérablement améliorées, mais la vigilance reste indispensable.

 

 

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La légionellose, est une infection pulmonaire grave causée par des bactéries du genre Legionella. Ces bactéries sont naturellement présentes dans les milieux aquatiques (lacs, rivières, sols humides) et dans les réseaux d’eau artificiels (réseaux d’eau chaude, systèmes de climatisation, bassins à remous…), où elles peuvent se multiplier.

La contamination se produit par inhalation de microgouttelettes d’eau contaminée. La légionellose ne se transmet pas d’une personne à une autre et ne se contracte pas en buvant de l’eau contaminée dans des conditions normales.

 

 

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Le diagnostic repose sur l’imagerie pulmonaire qui oriente le diagnostic et des tests microbiologiques pour confirmer le diagnostic 
Le traitement repose sur des antibiotiques adaptés. Une prise en charge rapide est cruciale pour limiter la gravité.

 

Cet article a été rédigé grâce au concours du Pr Claire Andrejack, Pneumologue au CHU d'Amiens et Présidente de la SPLF.

 

 

 

7 octobre 2025
Les Mesures du Souffle

Un test de spirométrie mesure la santé de vos poumons. Il peut dépister et surveiller des affections respiratoires. Pendant le test, vous devrez expirer le maximum d'air possible, aussi fort que possible, dans un appareil appelé spiromètre. (Source : European Lung Foundation)

Si vous arrivez sur cette page, c'est très certainement que vous nous avez rencontré lors d'un événement et que l'un de nos professionnels a effectué sur vous, ou l’un de vos proches une mesure du souffle. En fonction du résultat sur la fiche qu'il vous a transmis, il a pu vous prodiguer des conseils et vous recommander d'en parler à votre médecin généraliste ou un spécialiste.

 

Sur la fiche transmise, il y a 3 chiffres qui sont indiqués : VEMS, CV et rapport VEMS/CV

 

Le spiromètre de poche utilisé permet de mesurer le volume d’air expiré en fonction du temps. Après une inspiration maximale, une expiration forcée pendant 1 seconde est demandée, puis prolongée pendant 5 secondes. En pratique, il faut souffler le plus fort possible la première seconde et maintenir son expiration au total pendant 6 secondes. 

 

L’appareil donne trois valeurs : 
  • VEMS : Volume Expiratoire Maximal Seconde, c’est le débit maximal  d’air expiré au cours de la première seconde. Ce débit est un paramètre essentiel pour mesurer l'élasticité des bronches et déterminer la présence et la gravité d'une obstruction des voies respiratoires (par exemple, chez les fumeurs, présence de mucus ou de rétrécissement bronchique).
  • CV : Capacité Vitale, c’est la quantité d’air expirée au bout de 6 secondes, ou VEM6, que l’on peut assimiler à la capacité vitale ou CV. C'est la quantité totale d'air qu'une personne peut expirer de manière forcée après une inspiration et une expiration maximales. Elle permet d'identifier des troubles respiratoires, obstructifs (tels que l'asthme ou la BPCO) et restrictifs (tels que la fibrose pulmonaire).
  • Le rapport entre les deux valeurs précédentes, VEMS/CV que l’on appelle aussi rapport de Tiffeneau. Un rapport de Tieffeneau inférieur à 0,70 indique la présence d'une obstruction bronchique.

 

Ces valeurs respiratoires et notamment la capacité vitale dépendent de :
  • la taille, les plus grands ont logiquement plus de souffle,
  • l’âge, elles décroissent avec le temps,
  • du sexe, les hommes ayant une CV en moyenne supérieure à celle des femmes. 

Outre les valeurs individuelles, l'appareil utilisé fournit aussi les résultats en pourcentage des valeurs prédites en fonction des trois critères de l'âge de la taille et du sexe.

 

16 octobre 2025
Respirer, sans même y penser !

« Respirer, sans même y penser » : une campagne de prévention inédite pour sensibiliser toutes les populations à la santé respiratoire. 

 

Respirer : un acte naturel, aujourd’hui menacé par les polluants de l’air intérieur et extérieur. Les polluants peuvent favoriser l’apparition et l’aggravation de maladies respiratoires chroniques chez les personnes à risque. Tout le monde est concerné. 

 

Du 16 octobre au 19 novembre 2025, la Fondation du Souffle lance sa première campagne nationale de prévention, « Respirer, sans même y penser », avec l’objectif d’amener les Français à prendre véritablement conscience de la dimension vitale de leur respiration et à réaliser le Soufflotest. C'est un quiz en ligne, créé par la Fondation du Souffle grâce au soutien de ses donateurs, mécènes et de pneumologues bénévoles engagés à ses côtés.

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À travers un spot de 15 secondes décliné sur une multitude de supports, cette campagne sera en partie diffusée gracieusement, grâce au soutien de nombreux médias partenaires mobilisés aux côtés de la Fondation du Souffle : TF1, Media Transports (Métro et grandes gares de France), CEGEDIM (1200 pharmacies), BASIC FIT (200 salles de sport), entre autres. 

 

Cet élan de générosité permet de démultiplier la visibilité de la campagne, avec un appel massif à tester son souffle à travers le Soufflotest, auprès de toutes les populations sur le territoire.

 

Ensemble, luttons contre les maladies respiratoires 
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Merci à nos mécènes pour leur soutien :

GSK, IRCEM, KENVUE, MENARINI, SANOFI REGENERON.

20 octobre 2025
Livret générique
20 octobre 2025
Journée Mondiale de la BPCO 2025

Comme chaque année, la Fondation du Souffle grâce au soutien de tous ses partenaires locaux, vient près de chez vous afin de vous informer et prévenir les maladies respiratoires ! 

 

Au programme :

  • animations autour de l'activité physique pour tous
  • rencontres avec des professionnels de santé qui vous proposeront des mesures du souffle
  • discussions et échanges autour des différentes pathologies et des gestes simple à adopter pour prendre soin de sa santé respiratoire 

 

Et retrouvez ici les lieux et dates où nous retrouver d'octobre à novembre :

  • 2025-10-14 – CHI Créteil – 40 avenue de Verdun, 94000 Créteil (Île-de-France)
  • 2025-10-23 – Polynésie – Lieu à confirmer 98711(Paea)
  • 2025-10-24 – Parc Chanot – Village expo Course Marseille-Cassis, Rond-Point du Prado, 13008 Marseille (PACA)
  • 2025-10-25 – Gymnase Espace Dan Ar Bras – 29000 Quimper (Bretagne)
  • 2025-11-04 – Agence Harmonie Mutuelle – 3 rue Auguste Brizeux, 44600 Saint-Nazaire (Pays de la Loire)
  • 2025-11-05 – Hôpital Saint-Joseph – 7 Bd Latil, 13008 Marseille (PACA)
  • 2025-11-06 – CHU Nantes – Bd Pr Jacques Monod, 44800 Saint-Herblain (Loire-Atlantique)
  • 2025-11-06 – CHG Béziers – 2 rue Valentin Hauy, 34600 Béziers (Occitanie)
  • 2025-11-08 – Marché de Pontoise – Place de l’Hôtel de Ville, 95300 Pontoise (Île-de-France)
  • 2025-11-10 – Pharmacie Boticinal – Pharmacie du RER, 92800 Puteaux (Île-de-France)
  • 2025-11-13 – CH Draguignan – Route de Montferrat, 83007 Draguignan (PACA)
  • 2025-11-13 – Galerie Auchan Noyelles-Godault – Avenue de la République, 62950 Noyelles-Godault (Hauts-de-France)
  • 2025-11-13 – CH Vannes – 20 bd Général Maurice Guillaudot, 56000 Vannes (Loire-Atlantique)
  • 2025-11-14 – CHG Cannes – 15 Avenue des Broussailles, 06414 Cannes (PACA)
  • 2025-11-18 – Hôpital privé Paul d’Egine – 4 avenue Max Dormoy, 94500 Champigny-sur-Marne (Île-de-France)
  • 2025-11-18 – CH Bagnols-sur-Cèze – 7 avenue Alphonse Daudet, 30200 Bagnols-sur-Cèze (Occitanie)
  • 2025-11-18 – Clinique Teissier – 118 avenue Desandrouin, 59300 Valenciennes (Hauts-de-France)
  • 2025-11-19 – Parc des Princes – 75016 Paris (Île-de-France)
  • 2025-11-19 – Mairie Papeete – 3, Rue des Remparts, 98714 Papeete (Outre-mer)
  • 2025-11-21 – Hôpital Foch – 40 Rue Worth, 92150 Suresnes (Île-de-France)
  • 2025-11-21 – CHU Grenoble – Avenue des Marquis du Grésivaudan, 38700 La Tronche (Auvergne-Rhône-Alpes)
  • 2025-11-21 – Groupe Hospitalier Bretagne Sud – 5 Avenue Choiseul, 56100 Lorient (Bretagne)
  • 2025-11-21 – Gymnase Mairie – Carrières-sur-Seine, 78420 (Île-de-France)
  • 2025-11-21 – CHU Lille – 2 avenue Oscar Lambert, 59000 Lille (Hauts-de-France)
  • 2025-11-27 – Hôpital Européen – 6 rue Désirée Clary, 13003 Marseille (PACA)
  • 2025-11-28 – CHU Limoges (EFR) – 2 Av. Martin Luther King, 87000 Limoges (Nouvelle-Aquitaine)
22 septembre 2022
Cancers du poumon

Pourquoi les non-fumeurs peuvent-ils développer des cancers ?
 

Cette énigme, qui préoccupe les pneumologues depuis des années, a enfin été résolue par une étude menée par le Dr Charles Swanton. Grâce à une analyse épidémiologique de grande ampleur, menée sur un demi-million de personnes en Angleterre, en Corée du Sud et à Taïwan, ainsi qu'à des expérimentations chez la souris, les chercheurs ont réussi à déconstruire en 3 points les mécanismes biologiques impliqués.

Premier résultat : l'exposition aux particules fines (PM2.5) augmente le risque de développer un cancer du poumon chez les non-fumeurs.

Deuxième résultat : la moitié des non-fumeurs non-malades présentent une mutation dans les gènes EGF-R ou KRAS au niveau de leurs tissus pulmonaires. Ces mutations résultent d'un processus naturel lié au vieillissement, puisqu'elles ont tendance à s'accumuler avec l'âge. Elles ne sont pas causées par la pollution et ne suffisent pas à transformer une cellule saine en cellule cancéreuse.

Troisième résultat : au niveau du tissu pulmonaire, les particules fines provoquent une réaction inflammatoire qui conduit les cellules saines mutées dans les gènes EGF-R ou KRAS à se transformer en cellules cancéreuses.

 

Les cancers qui prennent leur origine dans le poumon sont appelés cancers pulmonaires primitifs.
 

Cancer du poumon, représentation des cellules normales et des cellules cancérigènes


Parmi ces cancers primitifs, et en fonction des cellules à partir desquelles ils se développent, on distingue deux types de cancers du poumon :

  • Les cancers du poumon à petites cellules, qui représentent 15 à 20 % des cancers broncho-pulmonaires primitifs.
  • Les cancers du poumon non à petites cellules, les plus fréquents des cancers du poumon avec 80 à 85 % des cas. Dans ce type de cancer, il existe des sous-types avec un certain nombre d’altérations moléculaires qui peuvent donner lieu à des thérapies ciblées, révolution thérapeutique de ces dernières années avec l’immunothérapie.

Les cancers pulmonaires peuvent être secondaires, c’est-à-dire dus à des métastases provenant de cancers du rein, du côlon, du sein, de la prostate, de l’ovaire, de la peau...

 

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Le cancer du poumon est le 3e cancer le plus fréquent en France.

Il est de plus en plus fréquent chez la femme, dû à une forte augmentation du tabagisme depuis les 70 et 80.

 

, Une image contenant Produits de tabac, Cigarette, personne, briquet

Description générée automatiquement

 

Le tabagisme est la première cause des cancers du poumon. Le tabagisme passif (inhalation de la fumée d’un ou plusieurs autres fumeurs) est également en cause, qu’il ait lieu dans l’enfance, l’adolescence ou à l’âge adulte.

Le risque de cancers est d’autant plus élevé que le tabagisme a débuté tôt, la durée du tabagisme est grande, le nombre de cigarettes consommées est important.

Chez les non-fumeurs, le risque d’apparition de cancers du poumon, quoique faible, est augmenté par des expositions diverses, à l’amiante, au radon, à des carcinogènes domestiques (cuisson au feu de bois dans les lieux mal ventilés), à la pollution. 

 

 

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  • Principalement les fumeurs (hommes et femmes) : le tabac est de loin la 1e cause de cancer broncho-pulmonaire, toutes les formes de tabac peuvent provoquer des cancers ; le cannabis inhalé est aussi un facteur de risque.

     

  • Certaines professions sont plus à risque de développer un cancer broncho-pulmonaire en raison d’expositions répétées :

               - aux substances radioactives (techniciens radio),

               - à certains métaux et hydrocarbures polycycliques (travailleurs des industries chimiques, pétrolières… ),

               - à l’amiante (travailleurs du bâtiment… ).

             Le cancer peut alors être reconnu comme une maladie professionnelle.

  • L’âge est également un facteur de risque, la fréquence de ce cancer augmente avec l’âge.

 

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Les principaux signes d’alerte sont :

  • une toux persistante différente de celle que connaît bien le fumeur,
  • l’apparition de crachats sanglants (hémoptysie),
  • la survenue d’infections respiratoires récidivantes ou répondant mal au traitement,
  • un essoufflement anormal,
  • une douleur dans la poitrine,
  • une douleur inexpliquée au niveau du cou, de l’épaule ou du bras,
  • une modification de la voix,
  • un amaigrissement inexpliqué, une fatigue, une altération de l’état général.

 

, clinique scan cancers

Tous ces signes ne sont pas spécifiques aux cancers. Ils doivent cependant amener à réaliser : 

  • un examen clinique,
  • la recherche d’un tabagisme actif ou passif, ou d’une exposition à un autre carcinogène ; une BPCO (broncho-pneumopathie chronique obstructive) préexistante est également un facteur de risque de cancer pulmonaire,
  • des examens complémentaires : radiographies, scanners, endoscopie bronchique, spirométrie (étude du souffle), examens sanguins.

 

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Les mutations génétiques des cellules peuvent donner naissance à différents types de cancers du poumon, en favorisant la croissance anormale et la propagation du cancer.

Des tests génétiques peuvent être effectués sur les tissus cancéreux à l’occasion d’une biopsie ou d’une chirurgie ; les résultats peuvent aider à décider si le patient est éligible à une thérapie ciblée.

 

 

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Traitement cancersIl existe plusieurs approches dans le traitement des cancers du poumon, qui peuvent être utilisées seules ou en combinaison. 

Dans tous les cas, l’arrêt du tabac est bénéfique pour le succès du traitement. 

  • La chirurgie

Elle est réservée aux formes sans métastase, ce qui renforce la nécessité d’un diagnostic précoce et d’un bilan d’extension. L’état de santé cardiaque et respiratoire du patient doit permettre la chirurgie, ce qui n’est pas toujours le cas chez les fumeurs.

  • La radiothérapie

Ce traitement consiste à soumettre la tumeur, les ganglions atteints, parfois les métastases, à l’action de rayonnements. 

  • La chimiothérapie

Cette technique consiste à administrer des médicaments anticancéreux (seul ou en association) par cures répétées, à des intervalles réguliers. Elle peut être prescrite pour des patients avec une maladie localisée ou étendue (métastatique). 

  • Les thérapies ciblées

Ces traitements sont dirigés contre certaines mutations tumorales. 

  • L’immunothérapie (ou dite thérapie biologique)

Cette technique innovante, issue de recherches récentes, a bouleversé le traitement de certains cancers du poumon. 
Elle consiste à modifier l’environnement des cellules cancéreuses pour les rendre à nouveau sensibles aux défenses immunitaires de l’organisme. Autrement dit, elle vise à stimuler le système immunitaire inhibé par la tumeur pour qu'il détruise les cellules tumorales.

L’association de l'immunothérapie et de chimiothérapie pratiquée avant une chirurgie chez des patients atteints d'un type de cancer du poumon très répandu montre une réduction de près de 40 % du risque de récidive et de décès.

Aujourd'hui, cette classe de traitement est largement utilisée pour la prise en charge des affections à un stade avancé ou métastatique.
L'objectif désormais est d'étendre ce traitement aux stades précoces du cancer du poumon pour le traiter plus tôt et plus efficacement, offrant de meilleures chances de rémission aux patients et améliorant considérablement leur qualité de vie.

 

 

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Une image contenant Cigarette, Produits de tabac

Description générée automatiquement

  • Eviter toutes les formes de tabac : cigarettes, cigares, narguilé, pipe.
  • Eviter le cannabis, également cancérigène sous forme inhalée.
  • Eviter les atmosphères enfumées et ne pas exposer les enfants à la fumée du tabac, afin de ne pas s’exposer au tabagisme passif, également facteur de risque de cancer du poumon.
  • Un fumeur accompagné par un professionnel de santé a plus de chances de parvenir au sevrage que seul.
  • Limiter les expositions professionnelles et environnementales aux agents cancérigènes par des équipements de protection individuelle et des mesures collectives adaptées.

     

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Description générée automatiquement

La prise en charge d’un patient atteint d’un cancer du poumon doit être globale et adaptée à chaque situation.

 

Les buts sont :

  • de traiter les symptômes,
  • d’arrêter ou de ralentir l’évolution du cancer et l’apparition de métastases,
  • de limiter le risque de reprise ou de récidive,
  • de maintenir la qualité de vie.

Outre les traitements spécifiques décrits au paragraphe sur les traitements du cancer du poumon, des soins adaptés doivent être mis en œuvre dès le diagnostic puis pendant et après le traitement : soutien psychologique, prise en charge de la douleur, aide sociale et professionnelle…

 

 

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  • infections des voies respiratoires (bronchites, pneumopathies) liées à la baisse de l’immunité et aux altérations anatomiques,
  • extension locorégionale ou métastatique : les métastases sont des atteintes cancéreuses secondaires qui se développent dans d’autres parties de l’organisme (os, foie, cerveau… ),
  • maladie thromboembolique : phlébite (thrombose veineuse) et embolie pulmonaire,
  • complications liées aux traitements.

 

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Le cancer à petites cellules garde un pronostic assez défavorable, avec une probabilité de survie à 5 ans inférieure à 10 %.

Pour les cancers non à petites cellules, la survie à 5 ans standardisée sur l’âge s’est améliorée avec une meilleure prise en charge, supérieure à 20 %. A noter que le taux de mortalité chez la femme a progressé dans les 10 dernières années.

 

 

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Des règles hygiéno-diététiques sont efficaces et utiles :

  • l’arrêt du tabac favorise l’efficacité des traitements et améliore le pronostic,
  • le maintien d’une activité physique ou sportive adaptée permet une meilleure qualité de vie et améliore la santé mentale,
  • l’alimentation doit rester suffisante et équilibrée,
  • la participation à des groupes ou des associations de patients peut être bénéfique,
  • la reprise du travail est discutée avec le médecin du travail et le service de santé du travail ; elle peut être proposée sous forme d’un temps partiel thérapeutique de durée limitée,
  • un suivi médical régulier et adapté est nécessaire pendant et après le traitement.

 

 

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Retrouvez le témoignage de Catherine, patiente atteinte d'un cancer du poumon

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  • Les vidéos YouTube de la Fondation du Souffle consacrées au tabac 
  • Les vidéos YouTube de la Fondation du Souffle consacrées au mois sans tabac
  • Les Rencontres de la Fondation du Souffle sur le thème des "Mieux vivre avec un cancer du poumon"
  • Vidéo - RDV Recherche en santé respiratoire #5 - Dépistage du cancer du poumon
  • Ameli - Cancers du poumon
  • Santé publique France - Cancers du poumon et tabac

 

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  • Soufflotest
10 novembre 2021
Lutter contre le réchauffement climatique, c’est lutter pour préserver la santé respiratoire de tous

Suite à la #COP26 retrouvez le cri d’alarme de Bruno Housset, pneumologue et président de la Fondation du Souffle.

La pollution particulaire tuerait près de 7 millions de personnes par an dans le monde… 7 millions de personnes par an.

 

Bonjour à toutes et à tous,

mon nom est Bruno Housset, je suis pneumologue et Président la fondation du souffle. J’aimerais vous convaincre en quelques minutes que lutter contre le réchauffement climatique c’est lutter pour préserver la santé respiratoire de chacun et notamment des plus vulnérables, de ceux qui souffrent déjà de maladies respiratoires chroniques comme un asthme, une BPCO, une insuffisance respiratoire, des enfants, des sujets âgés, des sujets les plus démunis.

 

Les vagues de chaleur plus fréquentes, plus intenses, plus longues sont à l’origine d’une augmentation de la mortalité notamment respiratoire. Par ailleurs, l’augmentation des températures moyennes étend les régions et la durée d’exposition à des pollens, sources de maladies respiratoires allergiques. Si rien n’est fait, il est estimé qu’environ 50 % de la population française souffrira d’une maladie allergique respiratoire en 2050. Les événements climatiques extrêmes sont associés à des épisodes de sécheresse et donc à des incendies de forêt dont les fumées toxiques peuvent parcourir des centaines de kilomètres. Des inondations sont également plus fréquentes, sources de moisissures dont on connaît le rôle dans la survenue et aggravation de l’asthme et des rhinites. Il existe un lien entre pollution réchauffement climatique. L’utilisation de l’énergie fossile, à côté de la production de gaz à effet de serre, produit des polluants toxiques tels que les particules ou le NO2. La pollution particulaire tuerait environ 7 millions de personnes par an dans le monde… 7 millions de personnes par an dans le monde ! Plus les particules sont petites, plus elles sont toxiques, plus elles peuvent aller loin dans les voies aériennes jusqu’aux alvéoles voire dans l’organisme. Les particules peuvent véhiculer des substances toxiques notamment à l’origine de cancer, des germes ou des pollens. Le lien entre infection COVID sévère et pollution semble maintenant démontré. L’ozone est un autre polluant qui est un polluant secondaire qui augmente du fait de l’augmentation des jours d’ensoleillement. C’est un gaz qui est responsable de maladies respiratoires et de décès.

 

La menace du dérèglement climatique sur la santé respiratoire est donc déjà présente. Sensibiliser et informer les citoyens sur les maladies respiratoires liées au réchauffement climatique, mettre en place des financements pour développer une recherche appliquée destinée à prévenir et mieux prendre en charge les maladies respiratoires induites par le réchauffement climatique, telles sont les missions de la Fondation du Souffle.

 

Il est urgent d’agir ensemble pour préserver la santé respiratoire de nos enfants.

 

Merci pour votre attention

Pr Bruno Housset

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